
D’après une enquête menée en 2016 sur 200 000 personnes, 36% des interrogés auraient déjà fait un « burn-out », soit une personne sur 3 (source : Parlons Travail – CFDT). C’est ENORME ! C’est BEAUCOUP trop. Le taux s’élève à 54% chez les chômeurs. Comment avoir envie de travailler après avoir été déçu par le monde du travail ? Pourquoi la société actuelle s’enlise dans un système productif parfois inhumain et vide de sens ? Le burn-out n’est pas une affaire isolée, lorsqu’une personne sur trois est touchée, c’est un problème de grande ampleur.
La cause ? La difficulté à être écouté, à pouvoir s’exprimer, à pouvoir se plaindre, à donner son avis, à remettre en question l’existant… Et qu’en est-il de la liberté d’expression ? Le burn-out ne doit pas être un tabou. La honte doit changer de camp. La sensibilité de chacun doit être prise en compte, avec bienveillance et sans jugement, pour qu’enfin les choses changent positivement. Retrouvez les 3 symptômes de l’épuisement professionnel ici.

La « lucidité » est définie dans le Larousse comme « l’état de quelqu’un qui a toute sa conscience. Qui juge, voit clairement, objectivement les choses dans leur réalité ». Les salariés sont-ils plus lucides que les dirigeants d’organisations ? 7 personnes sur 10 le pensent, soit plus de 70% des personnes ayant répondu à l’enquête (source : Parlons Travail – CFDT). Et vous, qu’en pensez-vous !? Racontez nous ici.

Peut-on être heureux au travail lorsque l’on passe plus de temps à rendre des comptes qu’à réellement créer de la valeur ajoutée ? A ce jour, deux personnes sur cinq, ayant répondu à l’enquête estiment être dans ce cas-là (source : Enquête Parlons Travail – CFDT). D’ailleurs, les hommes semblent être plus nombreux à déclarer « parfois, j’ai l’impression que je passe plus de temps à rendre des comptes qu’à travailler » que les femmes (46% contre 42% pour ces dernières). Et vous ? Partagez-vous ce sentiment ? Acceptez-vous facilement de devoir justifier votre travail ? Venez donner votre avis et partager votre opinion, librement et anonymement, ici.

58% des personnes ont répondu « oui » à l’affirmation suivante : « Il m’est déjà arrivé de pleurer à cause de mon travail » (source : Enquête Parlons Travail – CFDT). Et vous ? Avez-vous déjà pleuré à cause de votre travail ?
Tout ce qui n’est pas exprimé est imprimé. Exprimez-vous, librement et anonymement en cliquant ici.

Les journées au travail peuvent être très longues, ce sont ces petits détails du quotidien qui, accumulés, fatiguent petit à petit. Pourtant, d’après les statistiques de l’institut DARES, un salarié qui est écouté aurait 1,5 fois moins de « chances » d’éprouver un syndrome dépressif qu’un salarié qui est simplement écouté. L’écoute permettrait de vaincre le burn-out ?
Que l’on soit déjà arrivé au point de rupture ou de plus en plus affecté par des évènements liés au travail, il est essentiel de se libérer, quotidiennement ou à postériori. Suite à mon histoire, j’ai compris qu’il était préférable de mettre des mots sur ces émotions plutôt que tenter de les refouler ou de se remettre en question, sans cesse, comme j’avais fait jusqu’alors. STOP LE TABOU. Exprimez vous, librement et anonymement, ici.

Plus d’une personne sur deux se déclare en situation de fragilité, en France, en 2018 dans le secteur privé (source : Malakoff Médéric).
Alors pour « mieux-être », n’hésitez pas à retrouver nos conseils. Et si vous avez des astuces ou souhaitez partager votre histoire, on attend de vous lire avec impatience ici !