Ils m’ont poussé à la rupture conventionnelle à coup de pression et d’humiliation… De retour de mon congé maternité, leurs premiers mots étaient « de toute façon tu ne vas pas rester ». À partir de là j’ai eu droit à de nombreuses convocations et e-mails visibles à tous les salariés concernant des erreurs d’inattention. J’ai fini par céder.